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I Ouvrages de base

Axé essentiellement, comme l'indique le titre flamand, sur la polyphonie bourguignonne ou du nord de l'Escaut ; superbe iconographie en couleurs ; l'école française est évoquée en une demi-page.

Les connaissances ont été actualisées depuis 1964, mais ce petit dictionnaire (aussi vieux que moi) est pratique et très illustré. Du même auteur, même éditeur : Dictionnaire de musique, 269 p.

Synthétique, pratique, mais extrêmement partial envers certains compositeurs, dont mon ami Certon.

(Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le cervelas ou la fricassée sans vouloir le demander... Abondamment illustré, notamment de spécimens de notation musicale.)

(Lettres de Roland de Lassus ; vol. 1, 189 p. (commentaires et "traductions" des lettres originales) ; vol. 2, 78 p. (transcriptions)).


II Plus complexes ou plus spécialisés

(Première étude de synthèse sur le Printemps. Elle met en évidence les aspects prosodiques et phonétiques de la musique mesurée à l'antique.)

(Une vingtaine d'articles, dont beaucoup traitent des rapports musique-poésie.)

(Une trentaine d'articles)

Les quatre premières parties (Avant le Concile, Au temps du Concile et La Contre-Réforme (I et II), p. 17-136) couvrent la période 1546-1615.

Très accessible et abondamment illustré (photos en noir et blanc et gravures).

Biographie, analyse d'oeuvres, conseils de transcription et d'interprétation. Ces derniers sont accompagnés d'exemples musicaux et d'illustrations empruntées à des manuscrits d'époque).

Destiné tout autant aux exécutants qu'aux musicologues. Contient une liste de chansons accessibles en édition moderne.


III Quelques partitions facilement accessibles


Quoique pas toujours irréprochables du point de vue musicologique (débat interne au cénacle desdits musicologues).

(Editions commentées et accompagnées d'une chronologie. Marot : 12 chansons, dont Tant que vivray de Sermisy et On le m'a dit de Certon ; Ronsard : 12 chansons, dont Bien qu'à grand tort de Certon et Que dis-tu, que fais-tu de Lassus. Pièces transposées à l'usage des choeurs modernes.)

(84 chansons françaises de Josquin des Prés à Eustache Du Caurroy, en passant par Claudin de Sermisy, Clément Janequin, Pierre Certon, Pierre Cadéac... ; quelques classiques, mais aussi beaucoup de pièces jusqu'alors inédites, comme la version de Je suis déshéritée tirée des Meslanges de Certon.)


IV Littérature